Je dis, au chemin de l’aube-épine
A pas boisés savourant le printemps
Et l’écrire s’immisce entre terres et brumes.
Je dis, à l’essence du vent
A pierre mugissante colorant le temps
Aucun mot. Sans prise.
Je dis, à l’océan
Nous vivrons vieux, tannés, salés et ridés
La main à la main
Ceci tenant cela, et l’inverse aussi.
Ecrit le 8 mai 2015
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